40 rue Emile Barrère 13200 Arles ; du mercredi au samedi de 16h à 19h
frenchlizardattitude@live.fr
Entrée libre & sur rendez-vous + 33(0) 490 995 331
http://galeriejosephantoninarles.blogspot.com
PROGRAMME ETE 2013
A partir du 1er juillet
Rencontres d'Arles OFF
Le Temps d'aimer et de mourir
Ludovic Zuili
Guillaume Flageul
Vernissage mercredi 3 juillet 19h, en présence des artistes :
Happening (the ninth way to die de Ludovic Zuili)
Dans le cadre du happening, un décor de chambre de motel est crée dans la galerie, le public est invité à participer, à simuler sa propre "fin" tandis que la photographie immortalise l'instant. Le happening a lieu dans la galerie durant un mois et pendant toute la durée de l'exposition.
DO THE EXPERIENCE...
Save the date !
Exposition du 1er au 27 juillet /// La galerie est exceptionnellement ouverte de 11h à 18h tous les jours pendant la première semaine des Rencontres.
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& A SUIVRE EN AOUT..
ETE ARLESIEN A SUIVRE JUSQUE FIN AOÛT !
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PROGRAMME 2013
LE TEMPS DE VIVRE ET D'AIMER / 13 Janvier- 9 Février : Mélanie Fontaine (installation), Ludovic Zuili (vidéo), Guillaume Flageul (peinture)...
Vernissage dimanche 13 janvier à partir de 10h...
Week-end ouverture Arles-MP2013
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FEMINISME / 23 Mars - 20 Avril : Emilie Jouvet (photographie, vidéo), Guillaume Flageul (peinture).
Sous le signe de la force et de l'érotisme des différentes féminités...
S’interrogeant sur le féminisme, nous avons remarqué que la femme, dans l’art, était assignée à la même place problématique que le corps, comme si l’identité morale, physique, de la femme se résumait à la façon dont on présente le corps, mais également comme si la femme, au sens de signifiant cette fois, faisait l’objet du même tabou que le corps. Qu’il s’agisse de la misogynie latente dans les courants abstraits et iconoclastes, au rejet évident de la nudité et d’un langage émotionnel qui passent par la sensualité tel qu’on le trouve dans la morale puritaine, c’est cette part de censure, de refoulé, que nous avons souhaité aborder et montrer dans l’exposition Féminisme.
Ce faisant, nous avons voulu combattre l’idée que tout ce qui a trait au nu soit à ce point découpé entre intellectualisme prude d’un côté, pulsions voyeuristes de bas étage de l’autre, et qu’il ne soit plus finalement question de regard, de plaisir, de beauté au sens large. Egalement, nous avons interrogé les codes de la représentation qui créent une norme désirable et marchande de la « nudité-objet » et revendiqué à contrario de montrer dans le domaine artistique, un corps libéré de la pression du plaire-à-tout-prix, un corps engagé dans la voie univoque du désir dominant, un « corps-sujet » dont la séduction ne passe ni par le morcellement de son tout en parties dociles, ni par le renoncement quelconque à son intégrité générale.
Pour ce faire, il nous a paru évident de réunir deux point de vues plastiques dont la particularité réside justement dans le traitement sans équivoque de la liberté du sujet féminin, allant de la tendresse et de la complicité du regard, de l’intelligence amusée à l’érotisme le plus pur.
Le regard d’Emilie Jouvet, réalisatrice et photographe du milieu queer underground, dont l’œuvre met à nu la question du genre et son déterminisme (sexuel, social), jouant avec l’artifice de la construction féminine, énonçant les conditions d’une émotion tactile et sensible, d’un engagement sans compromis, nous a paru essentiel pour saisir la part subversive du féminisme dans sa vitalité ou son urgence.
La peinture de Guillaume Flageul osant la représentation du corps féminin dans ce qu’il a de plus ouvertement cérébral et sensuel, traitant du sentiment vis-à-vis du modèle et de la peinture, réveillait également le débat souterrain autour de l’enjeu du regard : par sa frontalité, le nu engage le spectateur dans une lecture à la fois fascinante et déstabilisante comme si le modèle féminin était à la fois offert à la vue et rendu à sa toute puissance énigmatique et charnelle.
C’est en effet à la part androgyne, libératrice, du regard que l’exposition rend hommage : si le regard est, par nature, pacifiant et doué de la plus haute compréhension culturelle, c’est en vertu de ce qu’il est grand ouvert, sans-limites ni coupure, au-delà du sexué et du sexuel, pouvant donc réunir ce qui paraît de prime abord désuni par la censure ou la morale : le profane et le sacré, l'interdit et le désirable; bref, le corps et sa pensée.
Clémentine Feuillet / Galerie Joseph Antonin
Vernissage le samedi 23 mars 18h
Ouverture samedi, dimanche, de 11h à 19h pendant le Week-end Arles contemporain du 23, 24 mars // Projection spéciale d'un film-culte des années 70 (avec Delphine Seyrig), en partenariat avec la médiathèque d'Arles, le mardi 26 mars à 14h.
Femmes en mouvement / week-end arles contemporain
L'exposition organisée par la galerie joseph antonin est la première édition de FEMINISME(S), manifestation pluridisciplinaire, didactique, esthétique, sur le féminisme contemporain et les multiples féminités (queer, gender), dont la suite est prévue du 1er au 29 mars 2014, à la chapelle sainte Anne sur Arles...
Avec Emilie jouvet, Anne de Gelas, Bernard Plossu, Lynn SK, Guillaume Flageul, Sonia Yassa, Sarah Carp, Mélanie Fontaine, Marie Goussé, Karine Debouzie, Olga K. Iwogo, Véronika Marquez, Maria Machatova, Cendres Lavy, Anita Miller, Archives et collection Graziano Arici...
Sous le commissariat artistique de Clémentine Feuillet
Remerciements à Alain Bergala
Création et régie numérique de Pascal Ruiz
Participation à Des Femmes en Mouvement (ville d'Arles)
Un évènement à découvrir sur http://feminismesarles2014.blogspot.com
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SHADOW - Strangers than paradise / 15 Mai- 15 Juin : Daniel Nouraud (photographie, vidéo), Guillaume Flageul (peinture).
Vernissage mercredi 15 mai à partir de 18h
Nocturne Nuit des Musées samedi 18 mai
En parallèle de l’évènement Nuages au Musée Réattu d’Arles (Marseille Provence 2013), la galerie joseph antonin présente également une exposition singulière sur le thème du nuage, du 15 mai au 15 juin, avec Daniel Nouraud (photographe, vidéo) et Guillaume Flageul (peinture)…
"Quel est ce point de vue ? Qui se tient ainsi tapi entre le jour et la nuit ? Pas un homme rationnel et technique d'aujourd'hui. Plutôt quelqu'un qui aurait une mémoire très ancienne de l'espèce. Qui aurait conservé, tapi dans un coin de son cervelet, la mémoire du premier organisme, au cours de l'évolution, qui s'est hissé hors de l'eau pour tenter de vivre dans l'air, mais un air encore aqueux, dans un monde où l'eau était encore mêlée au limon originel. Ce point de vue, c'est aussi celui d'un futur très lointain, d'après l'ère industrielle. Il n'y a pas d'humains dans ces photos. Mais parfois les traces d'une civilisation disparue, que les éléments naturels auront bientôt effacés de la surface de la terre" Alain Bergala in Terraquae / Daniel Nouraud
L'exposition SHADOW - STRANGERS THAN PARADISE (Daniel Nouraud, Guillaume Flageul) porte sur l'inquiétante étrangeté du "nuage" : à la fois support du rêve et de la contemplativité, et par ailleurs source d'une tension croissante, d'un malaise lié au contexte post-industriel de l’environnement contemporain (destruction de l’écosystème, menace nucléaire); en histoire de l'art, la thématique embrasserait la question d'un changement irréversible de point de vue ou de repères de l'artiste vis à vis de la nature, confronté à la "perte d'innocence" et au "mal" moderne (contrairement au paysage classique qui assigne du positif dans la nature, du côté des miracles de la Création ou des dieux plutôt bienveillants de l'animisme)... A l’inverse, la question moderne est de rendre compte de ce « mal » sans être soi-même dans une posture de « mal » (fascination perverse ou apologie du crime perpétué sur la nature), tout en restant dans la croyance à l’image et ses pouvoirs magiques, thaumaturges.
Une exposition picturale et photographique sur le thème du paysage, sa dimension mélancolique, la question de la perte de l’innocence du point de vue, la blessure du paradis : comment le sujet de l'enchantement, de la stupeur devant la beauté est modifié au contact du sentiment moderne de la catastrophe.
L'exposition traite de la possibilité d’être au-delà du temps, de la représentation du nuage dans le sens de la lenteur, de la contemplation, conditions de la rêverie (repos de la forme, oubli de toute tension), puis de l'appréhension d'une menace (précipitation des phénomènes, trouble maléfique du nuage atomique).
Entre abandon et tension, concentration et retard, se jouent la magie propre à l'instant de l’image et la création de la conscience esthétique de l'artiste face à l'environnement contemporain : perpétuel décalé, étranger par nature, chassé du monde sauvage, de la pureté, du mutisme originel, faisant face au vertige d'une réalité composite, à la fois sublime et proche du cauchemar.
Clémentine Feuillet / Galerie Joseph Antonin
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LE TEMPS D'AIMER ET DE MOURIR (partie 2) / 1er-27 juillet : Ludovic Zuili (photographie, installation-happening), Guillaume Flageul (peinture)
Un dialogue original, brûlant, non conventionnel, entre peinture et photographie présentant la convergence de deux regards contemporains, portés sur l'expression sensible du réel et son potentiel fictionnel.
L'exposition aborde le champ de l'émoi amoureux, et plus largement la question du modèle. "Il faut tuer ce que l'on aime" disait Oscar Wilde : la dimension sentimentale se confronte à l'objectalité de l'amour, à la mise en scène du désir, à la peur de l'abandon et la séparation de l'être aimé. Du fantasme érotique au champ du feu, de l'ivresse puis de la mort, c'est la vie en entier qui se transforme sous nos yeux et devient peu à peu un rituel fascinant, participatif et ludique, joyeux et inquiétant, à mi-chemin entre illusion et spectacle.
Clémentine Feuillet / galerie joseph antonin
Vernissage mercredi 3 juillet à 19h, en présence des artistes.
Happening (The ninth way to die de Ludovic Zuili) et projection-vidéo. Dans le cadre du happening, le public est invité à participer, simuler sa propre "fin" tandis que la photographie immortalise l'instant.
Séances nocturnes de projection vidéo, à partir de 22h, à la galerie durant la semaine d'ouverture des Rencontres d'Arles...
& à partir du 3 août,
SHOW-ROOM
3 août-31 août
Guillaume Flageul, Emilie Jouvet, Lynn Sk,
Olga Iwogo, Daniel Nouraud, Ludovic Zuili
Du 12 octobre au 2 novembre,
SHOW-ROOM II
participation à Octobre numérique
Olga Iwogo, Lynn Sk, Ludovic Zuili, Guillaume Flageul, Daniel Nouraud, Emilie Jouvet, Karine Debouzie.
A SUIVRE ...